Le syndrome de la page blanche, c’est du passé. Dites aurevoir au manque de concentration et aux multiples appels de la procrastination avec Ommwriter Dana, un logiciel de traitement de texte bien inhabituel.
Ommwriter Dana vous isole du reste de votre ordinateur en offrant une expérience immersive, laissant place à la créativité et à la concentration. Au lieu des multiples barres de menus, des fenêtres et autres boîtes de dialogue, Ommwriter offre un espace de travail épuré, présentant une zone de texte et quelques options pour modifier l’image de fond et le jeu d’effets sonores. Ommwriter Dana est à son meilleur et son plus efficace lorsqu’employé avec des écouteurs.
Le logiciel se décline deux variations, Dana I et Dana II. Dana I est la version gratuite du logiciel, n’offrant que quelques options d’images de fond et de jeux sonores. Dana II offre l’expérience complète. Des versions d’Ommwriter sont disponibles pour Mac, PC et iPad.
J’utilise fréquemment Ommwriter Dana I pour rédiger des travaux scolaires. De n’avoir aucune distraction à l’écran et aucune option de formatage du texte est libérateur et inspirant. Je recommande ce logiciel à toute personne ayant déjà été coincé par l’angoisse de la page blanche.
Lomography est une Société bien particulière. Alors que le monde entier se tourne vers le numérique comme ultime sauveur de l’imagerie, Lomography développe des produits totalement analogiques aux allures farfelues. Remède contre le froid de la digitalisation mondiale? Peut-être. Façon d’exprimer de l’excentricité? Très probablement. Peu importe la raison, c’est une chance d’avoir un manufacturier qui pense autrement.
J’ai entre les mains depuis déjà quelques semaines la LomoKino, petite dernière née dans le portfolio de produits Lomography. Petite bête bien étrange, la LomoKino n’est pas un appareil photo, mais bien un appareil à film. Un appareil pour faire du bon vieux cinéma muet. En 2012. Voici mes impressions.
Pour ponctuer la fin de cette semaine, je veux vous présenter un nouveau vidéo signé Jane Lui, musicienne d’un incroyable talent. Alors allons-y de feeling et apprécions ce mashup de deux chansons d’amour de Madonna, interprétées de façon intelligente et créative.
Une fois cela fait, vous DEVEZ visionner d’autres vidéos de Jane Lui.
Bon lundi matin à tous et toutes. Pour bien débuter la semaine, voici un mélange de Midnight In A Perfect World de DJ Shadow et Round Midnight, un standard de jazz. Cet original mélange de genres est interprété par Paul Dateh, polyinstrumentiste talentueux et original.
Une fois le vidéo visionné, profitez-en pour parcourir le canal YouTube de Dateh. Vous ne le regretterez point.
J’ai acheté VVVVVV pour le Nintendo 3DS via le Nintendo eShop la semaine passée. Je ne regrette aucunement mon achat. Malgré cela, j’ai quand même failli lancer mon 3DS au bout de mes bras à moult reprises. Oh VVVVVV, pourquoi me traites-tu de la sorte?
VVVVVV est un jeu de plateforme signé Terry Cavanagh, développeur indépendant. Originalement sorti en 2010 pour Windows, ce jeu est maintenant disponible pour Mac, Windows, Linux ainsi que pour le Nintendo 3DS.
Embarquons dans le vif du sujet. VVVVVV est difficile. TRÈS difficile. Donner un coup de poing dans le mur et y faire un trou, difficile. Côté histoire, ça va comme ceci: On joue le rôle du Capitaine Viridian, qui, suite à une évacuation subite de son vaisseau, a été séparé de son équipage. Le but du jeu: retrouver l’équipage perdu, découvrir où nous sommes et pourquoi le monde est tordu de la sorte. Capitaine Viridian ne peut qu’avancer ou reculer. Au lieu de sauter, il peut inverser la gravité. Voilà.
Les contrôles sont extrêmement sensibles, l’environnement ne semble que vouloir tuer Capt Viridian. Chaque décès nous ramène au dernier checkpoint rencontré et nous pousse à devoir, impérativement, trouver la solution. Même si ça nécessite 100 décès consécutifs, il faudra passer au travers. D’ailleurs, le jeu comptabilise le nombre de fois le personnage est mort. Au moment d’écrire ce billet, j’en suis à 611 décès et ce, en 1h25 de jeu. Sérieusement.
Malgré le fait que le jeu soit aussi difficile, il est incroyablement excellent. Les niveaux sont très, très bien conçus. Il y a de jolies pointes d’humour dans le jeu. La bande sonore chiptune signée Souleye est totalement, complètement parfaite. Puis le port 3D du jeu est très réussi, avec une subtile impression de profondeur entre les plans.
VVVVVV pour le Nintendo 3DS est disponible pour 7.99$ sur le Nintendo eShop et la version PC/Mac/Linux est disponible pour 4.99$ directement du site officiel du jeu.
Nous sommes en 2012, il faut être prêt à tout. Avec la fin du monde qui approche, les zombies qui peuvent apparaître à tout moment puis avec la possibilité d’une tempête de verglas tropicale qui nous pèse sur les épaules, il faut savoir être préparé.
Avoir les bons outils sous la main pour faire face à toute situation est déjà un bon départ. Dans le magasinage d’un outil multifonction, comment on fait pour trouver le parfait outil?
Pour ceci, j’ai contacté Leatherman, pourvoyeur d’outils et de merveilles, afin de leur demander quels items de leur gamme seraient les plus adaptés à la vie de tous les jours. Voici leurs recommandations:
Voici le nouvel excellent vidéoclip pour la superbe chanson Two Against One de Danger Mouse & Daniele Luppi avec Jack White à la voix, tirée de l’album Rome. L’album est un hommage à la musique des films western spaghetti avec plusieurs chansons instrumentales qui nous transportent directement au Far West. En plus de Jack White, on a le droit à la merveilleuse voix de Norah Jones sur trois morceaux chacun. Un album qui mérite pleinement une écoute!
Il y a beaucoup de talent dans le monde de la photo/vidéographie de planche (que ce soit du skateboard, du longboard, du wakeboard, du snowboard, etc). Beaucoup de ce talent vient de la passion que les photo/vidéographes ont pour le sport qu’ils photographient.
Sam Weaver est un de ces passionnés. Photographe et vidéographe pour Skate District, un collectif de riders de la Nouvelle-Angleterre, il a réalisé plusieurs vidéos mettant en vedette d’excellents planchistes tels que Brian Bishop, Dane Webber et Amanda Powell. Son travail photographique et vidéographique aura été vu et republié entre autres par Loaded Boards et Original Skateboards, deux grands de l’industrie du longboard.
J’ai eu la chance cette semaine de lui poser cinq questions afin d’en connaître un peu plus sur lui et sur la création de Skate District Films.
Q: Qu’est-ce qui est venu en premier, le longboard ou la photo/vidéographie?
R: La photographie, le longboard puis la vidéographie. J’ai commencé à faire de la photo alors que j’étais très jeune. J’ai eu mon premier longboard alors que j’étais au secondaire et l’intérêt de la vidéographie m’est venu à travers mon désir de partager le développement des planchistes de Skate District, principalement Brian Bishop, Dane Webber et, plus tard, Amanda Powell.
Brian Bishop, faisant un early grab. Image reproduite avec permission.
Q: Sur quelle combinaison planche/trucks/roues roules-tu présentement?
R: Présentement, je ride un Wolfshark de Landyachtz avec des trucks Caliber et des roues Otangs 83. J’ai longtemps utilisé un Comet D2 comme planche principale et l’utilise encore beaucoup.
Q: Y a t’il eu un élément déclencheur dans la création de Skate District Films ou est-ce que ce projet s’est développé organiquement?
R: Skate District s’est formé plutôt graduellement au début, avec juste un canal YouTube pour partager la progression des membres du groupe. Ensuite, le projet m’a permis d’exposer mon travail photographique et vidéo. J’ai beaucoup de travail qui n’a pas été publié mais que j’aimerais beaucoup partager, principalement mes photos de paysage et de voyage.
Q: As-tu un vidéo ou une session préférée?
R:
Cette session aura été excellente à filmer parce que Dane et Brian skatent vraiment bien ensemble. C’était vraiment plaisant à réaliser. De filmer et de regarder des riders qui se connaissent si bien en train de skater ensemble est vraiment super cool pour moi. La façon qu’ils ont de descendre une colline ensemble est beaucoup plus cool qu’un seul skater ou qu’un groupe n’ayant pas l’habitude de descendre en groupe. Faire de la planche en groupe est vraiment un élément charnière du longboard, le fait d’avoir l’a possibilité d’être créatifs ensemble, en groupe est quelque chose que bien peu de sports ont, je crois.
Q: Quelle est la chose que tu ne seras jamais vu sans?
R: Ma moustache.
Vous pouvez apprécier le travail de Sam Weaver en visitant son Tumblr, son Flickr ainsi que son canal YouTube. Vous vous devez de cliquer sur ces liens.
Un grand merci à Sam Weaver d’avoir pris le temps de répondre à mes questions!
Cette semaine, Fujifilm a annoncé le petit dernier de la série X, le Fujifilm X-Pro1.
Ayant eu la chance de tester brièvement le X100 il y a de cela quelques mois, je suis tombé complètement amoureux de l’appareil. La construction irréprochable, le viseur hybride épatant, la qualité d’images, tout était là pour faire chavirer mon coeur (vous pouvez lire mes brèves impressions du X100 sur boxov en cliquant ici)
Eh bien, les ingénieux ingénieurs de Fujifilm ont pris le meilleur du X100, le meilleur du X10 et en ont profité pour ajouter encore plus. Voici donc le X-Pro1.
Là où le X100 avait un objectif fixe, le X-Pro1 introduit un nouveau système d’objectifs interchangeables. Là où on trouvait le superbe capteur 12 mégapixels taille APS-C, on trouve désormais un capteur X-Trans CMOS de 16 mégapixels qui, selon le communiqué de presse, serait inspiré de la pellicule photographique. Tout cela enveloppé dans un boîtier en aluminium noir.
Au lancement seront disponibles trois objectifs à focales fixes, soit le XF18mm F2 R, le XF35mm F1.4 R ainsi que le XF60mmF2.4 R Macro.
Soyez assurés que je vais surveiller le lancement de cet appareil de très, très près. En attendant, régalez-vous des liens suivants!
Étrangement, j’ai découvert Lights via twitter (@lights) avant même d’avoir entendu une seule note de son travail musical. Elle s’affichait dans ma liste de suggestions de gens à suivre. Je me suis dit: «tiens, elle a l’air bien sympathique, why not!» À lire ses tweets (qui, d’ailleurs, sont toujours excellents), j’ai compris qu’elle était musicienne et ai alors décidé d’écouter son dernier album.
Malheur à moi en faisait cela, je venais d’éclipser toute autre musique pour une bonne semaine. J’ai écouté Siberia en boucle pendant plusieurs jours sans jamais m’en lasser. Puis, sa musique s’est glissée à travers les autres albums que j’écoute fréquemment pour devenir part intégrante de ma tapisserie sonore quotidienne.
Son mélange réussi de pop et d’électro sale s’amalgame parfaitement avec son excellent sens de la mélodie et des paroles. Cette fille n’a rien à envier à personne. Elle compose ses pièces, écrit les paroles, joue du synthé, chante, joue de la guitare, est tattouée et est fana de jeux vidéos. Sérieusement.
Quiconque a des oreilles voudra écouter cet album au moins une fois. Siberia est disponible sur iTunes, sur Zune Marketplace ainsi que chez tout disquaire ayant le moindre bon sens.
Monsieur Camion 